Archive d’étiquettes pour : Jean-Yves Grégoire

Guide du Camino Francès / Jean-Yves Grégoire

Révision intégrale du parcours de Saint-Jean-Pied-de-Port à Compostelle. Cet itinéraire est depuis longtemps « stabilisé », mais de menues corrections sont régulièrement à apporter, essentiellement dues à des travaux routiers. Voilà qui est fait par Jean-Pierre Siréjol suite au décès de Jean-Yves Grégoire au début de l été 2013. Les informations pratiques concernant les hébergements ont également été entièrement revues et mises à jour. Rappelons que ce chemin est emprunté par plusieurs dizaines de milliers de pèlerins chaque année et tout au fil des 12 mois.

Le chemin côtier, camino del norte – Vers Saint-Jacques-de-Compostelle, guide pratique du pélerin

de Jean-Yves Grégoire, Françoise Pinguet

Depuis les premiers temps du pèlerinage vers Compostelle, le Camino Francés (via Burgos et Leon) n’a pas été le seul itinéraire conduisant vers les reliques de Jacques. Même si son histoire présente encore bien des points obscurs, le chemin des côtes cantabriques accueille les pas des marcheurs depuis des temps très lointains. Chemin primitif, chemin du nord, chemin côtier, l’itinéraire décrit dans ce guide permet de rallier Bayonne, à l’embouchure de l’Adour, au cap Finisterre, extrême pointe occidentale de la Galice.

Passant par Saint-Sébastien, Bilbao, Santander, Oviedo, et bien entendu à Saint-Jacques-de-Compostelle, il enchaîne trente-neuf étapes entre terre, ciel et mer, clans un décor somptueux et sauvage. Petit et grand patrimoine jacquaire, paysages d’exception, villes d’art et d’histoire : ce parcours s’adresse tant aux marcheurs de la foi qu’aux chercheurs d’un ailleurs qui – même intérieur – se révélera au fil de ce chemin de liberté.

Aujourd’hui bien balisé et entretenu, il constitue une remarquable alternative au chemin « classique ». Ce guide en décrit avec précision le déroulé et propose un riche répertoire d’hébergements. Les notices patrimoniales en font un outil de connaissance autant qu’un outil de pérégrination.

  • 18/04/2013

Les routes de Compostelle en France – Volume 2, A la rencontre du patrimoine sur la Via Domitia, le Chemin d’Arles et le Chemin du Vézelay

de Jean-Yves Grégoire

Après des siècles de léthargie et presque d’oubli, les vieux Chemins de Compostelle se sont réveillés. Depuis plus de quinze années, ils répondent à un engouement qui ne se tarit pas et va même s’amplifiant. Le phénomène fascine ! II dérange aussi parce qu’il suscite des interrogations, des remises en cause de nos modes de vie contemporains. Mais pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à Compostelle ? Aujourd’hui, les pèlerins vont à Rome ou à Jérusalem en utilisant tous les moyens de locomotion.
Alors, pourquoi pas Saint-Jacques ? Pour cette raison, Les Routes de Compostelle en France (volume 2) sont destinées à des pèlerins ou de simples visiteurs, mais motorisés. Cet ouvrage inventorie en détail le patrimoine au fil des étapes ; il permet aussi de profiter des merveilleux paysage des grandes voies (Domitia, Arles et Vézelay) en suivant d’aussi près que possible leurs tracés « historiques », le long des routes secondaires ou vicinales toutes proches.

L’aspect pédestre n’est pas pour autant oublié. Sur chaque itinéraire décrit, quelques étapes emblématiques du parcours ont été choisies afin que chacun ait un aperçu concret du cheminement à pied vers Saint-Jacques. Les étapes retenues sont assez courtes et praticables par des marcheurs peu entraînés. Du milieu des années 1980 à aujourd’hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! La plupart d’entre eux s’y rendent à pied ; on y compte des croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc.
Certains accomplissent le périple d’une traite, d’autres le morcèlent en raison de contingences personnelles… sachant qu’à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible de provoquer des transformations profondes à l’intérieur de soi. Le voyage vers Compostelle n’est jamais anodin et laisse des traces ! Fureteurs de grands espaces et curieux d’histoire, de sites, d’oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet ouvrage matière à suivre l’intégralité des voies historiques ici évoquées.

Le chemin de Saint-Jacques en Espagne – De Saint-Jean-Pied-de-Port à Compostelle

de Jean-Yves Grégoire et Louis Laborde-Balen

De Saint-Jean-Pied-De-Port, la pyrénéenne, à Saint-Jacques-de-Compostelle, la galicienne, se déroule l’un des plus célèbres chemins de pèlerinage d’Europe, façonné par les hommes et leur histoire. De nos jours, marcheurs de la foi et randonneurs en quête d’un ailleurs bien souvent intérieur s’y côtoient. Ce guide s’adresse aux uns et aux autres : description précise du parcours en 33 étapes, renseignements pratiques sur l’hébergement et le ravitaillement, articles traitant de nombreux aspects patrimoniaux.
Prendre ce chemin, aujourd’hui balisé, c’est s’engager dans une aventure de notre temps inscrite dans un espace très imprégné d’hier et toujours en devenir ; aller à Compostelle défiant toute tentative de résumé. C’est aussi visiter Roncevaux, Pampelune, Burgos, Léon, Astorga, Ponferrada. C’est s’envelopper de silence et rechercher une cohérence, c’est aller devant, dedans. C’est marcher, tout simplement, ailleurs…

Les routes de Compostelle en Espagne – À la rencontre du patrimoine sur le Chemin côtier et le Camino Francés

de Jean-Yves Grégoire

Du milieu des années 1980 à aujourd’hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! Si la plupart d’entre eux s’y rendent à pied, on y compte des croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc. Certains accomplissent le périple d’une traite, d’autres le morcèlent en raison de contingences personnelles… sachant qu’à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible de provoquer des transformations profondes à l’intérieur de soi. Le voyage vers Compostelle n’est jamais anodin et laisse des traces ! Mais pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à Compostelle ? Aujourd’hui, les pèlerins vont à motorisés. Les deux ouvrages inventorient en détail le patrimoine au fil des étapes ; ils permettent de profiter des merveilleux paysages des grandes voies françaises et espagnoles en suivant d’aussi près que possible leurs tracés  » historiques « , le long des routes secondaires ou vicinales toutes proches. Parfois, le hasard voudra que la petite route empruntée corresponde au tracé médiéval. L’aspect pédestre n’est pas pour autant oublié. Sur chaque itinéraire décrit, quelques étapes emblématiques du parcours ont été choisies afin que chacun ait un aperçu concret du cheminement à pied vers Saint-Jacques. Les étapes retenues sont assez courtes et praticables par des marcheurs peu entraînés. Cette manière de voyager le long des routes de Compostelle est déjà très appréciée depuis quelques années. Aussi, fureteurs de grands espaces et curieux d’histoire, de sites, d’oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet ouvrage pratique (routes à suivre, hébergements) matière à suivre l’intégralité de la voie de Paris et Tours, et celle du Puy.

Les routes de Compostelle en France – A la rencontre du patrimoine sur les voies de Tours et du Puy

de Jean-Yves Grégoire

Du milieu des années 1980 à aujourd’hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! Si la plupart d’entre eux s’y rendent à pied, on y compte des croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc. Certains accomplissent le périple d’une traite, d’autres le morcèlent en raison de contingences personnelles… sachant qu’à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible de provoquer des transformations profondes à l’intérieur de soi. Le voyage vers Compostelle n’est jamais anodin et laisse des traces ! Mais pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à Compostelle ? Aujourd’hui, les pèlerins sont motorisés. Les deux ouvrages inventorient en détail le patrimoine au fil des étapes ; ils permettent de profiter des merveilleux paysages des grandes voies françaises et espagnoles en suivant d’aussi près que possible leurs tracés  » historiques « , le long des routes secondaires ou vicinales toutes proches. Parfois, le hasard voudra que la petite route empruntée corresponde au tracé médiéval. L’aspect pédestre n’est pas pour autant oublié. Sur chaque itinéraire décrit, quelques étapes emblématiques du parcours ont été choisies afin que chacun ait un aperçu concret du cheminement à pied vers Saint-Jacques. Les étapes retenues sont assez courtes et praticables par des marcheurs peu entraînés. Cette manière de voyager le long des routes de Compostelle est déjà très appréciée depuis quelques années. Aussi, fureteurs de grands espaces et curieux d’histoire, de sites, d’oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet ouvrage pratique (routes à suivre, hébergements) matière à suivre l’intégralité de la voie de Paris et Tours, et celle du Puy.

Le Chemin de Rome – Via Francigena : guide pratique du pèlerin / Jean-Yves Grégoire

Le Chemin de Rome – la Via Francigena

Le Chemin Côtier Camino del Norte Vers Saint-Jacques-de-Compostelle – Guide pratique du pèlerin / Jean-Yves Grégoire

Depuis les premiers temps du pèlerinage vers Compostelle, le Camino Francés (via Burgos et León) n’a pas été le seul itinéraire conduisant vers les reliques de Jacques. Même si son histoire présente encore bien des points obscurs, le chemin des côtes cantabriques accueille les pas des marcheurs depuis des temps très lointains. Chemin primitif, chemin du nord, chemin côtier… L’itinéraire décrit dans ce guide permet de rallier Bayonne, à l’embouchure de l’Adour, au cap Finisterre, extrême pointe occidentale de la Galice. Passant par Saint-Sébastien, Bilbao, Santander, Oviedo, et bien entendu à Saint-Jacques-de-Compostelle, il enchaîne trente-neuf étapes entre terre, ciel et mer, dans un décor somptueux et sauvage. Petit et grand patrimoine jacquaire, paysages d’exception, villes d’art et d’histoire : ce parcours s’adresse tant aux marcheurs de la foi qu’aux chercheurs d’un ailleurs qui – même intérieur – se révélera au fil de ce chemin de liberté. Aujourd’hui bien balisé et entretenu, il constitue une remarquable alternative au chemin « classique ». Ce guide en décrit avec précision le déroulé et propose un riche répertoire d’hébergements. Les notices patrimoniales en font un outil de connaissance autant qu’un outil de pérégrination. Entre l’infini de la quête et l’ici et maintenant de la marche, ouvrir ce guide, c’est déjà partir sur le chemin des étoiles…

Tous les chemins mènent à Compostelle / Jean-Yves Grégoire

Après des siècles de léthargie – et même presque d’oubli -, les vieux chemins de Compostelle se sont réveillés. Depuis une bonne décennie, ils répondent à un engouement qui ne se tarit pas et va en s’amplifiant au fil des ans. Pourquoi ? Nul ne le sait vraiment. Besoin d’espace et de vie plus vraie, sans doute. Le motif de départ répond le plus souvent à une soif culturelle, à un désir hédoniste ou à un défi sportif. En chemin, le voyage se transforme en échange avec les autres, en introspection, en quête spirituelle.

L’Homme découvre alors qu’il est parti à la recherche de sa vraie nature, dans un écart par rapport à lui-même. J.-Y. Grégoire voyage depuis les années 1990 sur ces chemins du passé qui nous projettent sur les espérances du futur. Il tente d’en percer le mystère et de comprendre les raisons de ces nouvelles errances. Les chemins de Compostelle sont multiples, chacun réserve son éblouissante beauté, sa pureté, sa dureté. Intrinsèquement tous différents, et pourtant si semblables et tendus vers un même but…

Car tous ces chemins des Etoiles mènent à Compostelle. Ce livre n’est pas un énième livre de marche, pas plus qu’il ne cherche pas à dresser l’inventaire des richesses patrimoniales rencontrées au fil des différents itinéraires. Il convient simplement de prendre cet album comme une invitation au dépaysement, histoire de filer comme des vagabonds sur les sentes buissonnières. Par la relation de ses impressions (au sens pictural, mais également dans le sens de la trace laissée en soi), par la narration de quelques rencontres singulières, par l’évocation de l’esprit des lieux traversés, l’auteur dresse le portrait de huit grands chemins vers Saint-Jacques.

Le Chemin de la Plata vers Saint-Jacques-de-Compostelle

de Jean-Yves Grégoire

Le Chemin de la Plata fend la péninsule Ibérique du sud au nord. les Espagnols disent qu’il est la colonne vertébrale du pays et en retrace toute l’Histoire en passant par Séville, Merida, Cames. Salamanque, Zamora… Son tracé, établi à l’âge de bronze, correspond au parcours emprunte par les bovins lors des transhumances.

Au Ier siècle ap. J.-C., la draille devient une voie romaine stratégique. Cette « autoroute » empierrée (b’lata) constituera une aubaine pour les Maures déferlant sur l’Espagne au VIIIe siècle. Lors de la Reconquista, elle servira à chasser les musulmans d’Espagne. Âpres 1492, les Juifs fuyant l’Inquisition l’emprunteront aussi pour rejoindre le Maroc ou le Portugal. Enfin, dès le IXe siècle, les chrétiens d’Andalousie pérégrinent a pied depuis Séville en direction de la tombe de l’apôtre Jacques, en Galice, sur ce même itinéraire parfois nomme Camino mozarabe de Santiago, chemin mozarabe de Saint-Jacques-de-Compostelle. Ce guide décrit avec précision les 1000 km de pistes et de chemins séparant Séville et Compostelle. partages en trente-huit étapes. Pour charme, informations sur les hébergements et notices patrimoniales aident les marcheurs dans leur progression spatiale… et intérieure.

Randonnées sur les chemins de Saint-Jacques au Pays Basque

de  Jean-Yves Grégoire

Ce guide décrit dans le détail les itinéraires empruntés par les pèlerins et propose une liste de services en Pays basque. Il contient aussi des informations historiques et culturelles et des cartes schématiques. 2010, année jacquaire.
Le premier itinéraire, offrant deux possibilités de départ à Bayonne (un trajet par la côte, puis Ascain; l’autre par Souraïde), passe ensuite à Urdax, à Elizondo, au pas de la Velate, en terre d’Espagne. Ce chemin historique, dit « du Baztan », s’accomplit en 6 ou 7 étapes, avec arrivée à Pampelune/Pamplona.
Le second parcours, démarrant dans la capitale de la Basse-Navarre, s’en vient traverser Hélette, Espelette, Itxassou, Sare, pour s’achever dans la lumière de Saint-Jean-de-Luz. S’engager sur ces chemins, c’est goûter sans risque aux premiers pas vers la Galice, à l’aventure de la pérégrination, c’est accorder les différentes voies dans et au-delà de leur diversité.

Saint-Jacques – Le Chemin des chemins, du Puy-en-Velay à Compostelle

 

de Jean-Yves Grégoire

Des plateaux enneigés de l’Aubrac à la Meseta désolée, en passant par les terres vertes et chaudes du Pays basque, du Puy-en-Velay à Saint-Jacques-de-Compostelle (et au cap Finisterre), Jean-Yves Grégoire s’est laissé « engloutir » par le Chemin, dans une succession d’horizons tenant tous de l’émerveillement. Parfois labyrinthe semé d’arbres, parfois terre calcinée, ici vallon paisible, là étendue sans limite, chaque lieu parcouru est pour le marcheur combinaison d’effort physique et d’interrogations dépassant cette physique. Tel jour pèlerin épicurien, le lendemain ascète délivré de la pesanteur des heures, l’auteur s’accorde à la lenteur de la marche, laisse fleurir les questions sur le sens de sa pérégrination. Il s’imprègne de l’immuabilité du Chemin et de la pérennité de cette invitation à aller quotidien érodé par une agitation souvent vaine.

Aller à Compostelle est affaire de beauté, de rencontre, de regard neuf, de liberté reconquise, de silence au rythme sourd des pas, de rumination vaincue par l’harmonie, d’aller et retour entre matière et pensée, d’espace esquivant les morsures du temps, de sacré dépouillé de toute mystification. Le Chemin n’a rien d’une illusion ; ce n’est pas même une parenthèse mais un aperçu de la saveur et de la valeur du don, de la tolérance, de l’entrebâillement de la conscience tantôt à une transcendance hors du dogme, tantôt à une immanence veinée d’utopie.

Aventure raisonnable d’un point de vue géographique, le Chemin ouvre à la fulgurance de la vacuité et, au bout du compte, ne confond pas destin et destination…