Archive d’étiquettes pour : Chemins de Saint-Jacques

Les Chemins de Saint Jacques en Europe, Cité 4

NOUVELLE ÉDITION – carte

Voies terrestres et maritimes.
Inclus repères évènementiels de l’an 300 à nos jours…

La carte des Chemins de Saint Jacques de Compostelle en Europe, présente dans l’état actuel des recherches et des connaissances historiques, un panorama complet des itinéraires vers Compostelle. Voies du passé ou axes du présent, ce travail nous rappelle que l’histoire des chemins de Saint Jacques de Compostelle s’inscrit dans l’histoire du vieux continent.

Des Pays Baltes à Jérusalem et du nord du Royaume Uni au sud du Portugal, toute cette partie du monde a été parcourue par des pèlerins en route vers Compostelle. La carte est complétée par un abrégé historique. Une chronologie de repères évènementiels, de l’an 300 à nos jours, met en perspective l’évolution des mentalités et des croyances au cours des siècles.

Inclus également dans ce document inédit, le repérage cartographique des 100 principaux pèlerinages et sanctuaires en Europe.

  • EDITEUR : Cité 4
  • ISBN : 978-2-915069-27-3
  • POIDS : 0,105 Kg
  • DIMENSIONS : 1 / 2 750 000

Guide du Camino Francès / Jean-Yves Grégoire

Révision intégrale du parcours de Saint-Jean-Pied-de-Port à Compostelle. Cet itinéraire est depuis longtemps « stabilisé », mais de menues corrections sont régulièrement à apporter, essentiellement dues à des travaux routiers. Voilà qui est fait par Jean-Pierre Siréjol suite au décès de Jean-Yves Grégoire au début de l été 2013. Les informations pratiques concernant les hébergements ont également été entièrement revues et mises à jour. Rappelons que ce chemin est emprunté par plusieurs dizaines de milliers de pèlerins chaque année et tout au fil des 12 mois.

Le chemin côtier, camino del norte – Vers Saint-Jacques-de-Compostelle, guide pratique du pélerin

de Jean-Yves Grégoire, Françoise Pinguet

Depuis les premiers temps du pèlerinage vers Compostelle, le Camino Francés (via Burgos et Leon) n’a pas été le seul itinéraire conduisant vers les reliques de Jacques. Même si son histoire présente encore bien des points obscurs, le chemin des côtes cantabriques accueille les pas des marcheurs depuis des temps très lointains. Chemin primitif, chemin du nord, chemin côtier, l’itinéraire décrit dans ce guide permet de rallier Bayonne, à l’embouchure de l’Adour, au cap Finisterre, extrême pointe occidentale de la Galice.

Passant par Saint-Sébastien, Bilbao, Santander, Oviedo, et bien entendu à Saint-Jacques-de-Compostelle, il enchaîne trente-neuf étapes entre terre, ciel et mer, clans un décor somptueux et sauvage. Petit et grand patrimoine jacquaire, paysages d’exception, villes d’art et d’histoire : ce parcours s’adresse tant aux marcheurs de la foi qu’aux chercheurs d’un ailleurs qui – même intérieur – se révélera au fil de ce chemin de liberté.

Aujourd’hui bien balisé et entretenu, il constitue une remarquable alternative au chemin « classique ». Ce guide en décrit avec précision le déroulé et propose un riche répertoire d’hébergements. Les notices patrimoniales en font un outil de connaissance autant qu’un outil de pérégrination.

  • 18/04/2013

Les routes de Compostelle en France – Volume 2, A la rencontre du patrimoine sur la Via Domitia, le Chemin d’Arles et le Chemin du Vézelay

de Jean-Yves Grégoire

Après des siècles de léthargie et presque d’oubli, les vieux Chemins de Compostelle se sont réveillés. Depuis plus de quinze années, ils répondent à un engouement qui ne se tarit pas et va même s’amplifiant. Le phénomène fascine ! II dérange aussi parce qu’il suscite des interrogations, des remises en cause de nos modes de vie contemporains. Mais pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à Compostelle ? Aujourd’hui, les pèlerins vont à Rome ou à Jérusalem en utilisant tous les moyens de locomotion.
Alors, pourquoi pas Saint-Jacques ? Pour cette raison, Les Routes de Compostelle en France (volume 2) sont destinées à des pèlerins ou de simples visiteurs, mais motorisés. Cet ouvrage inventorie en détail le patrimoine au fil des étapes ; il permet aussi de profiter des merveilleux paysage des grandes voies (Domitia, Arles et Vézelay) en suivant d’aussi près que possible leurs tracés « historiques », le long des routes secondaires ou vicinales toutes proches.

L’aspect pédestre n’est pas pour autant oublié. Sur chaque itinéraire décrit, quelques étapes emblématiques du parcours ont été choisies afin que chacun ait un aperçu concret du cheminement à pied vers Saint-Jacques. Les étapes retenues sont assez courtes et praticables par des marcheurs peu entraînés. Du milieu des années 1980 à aujourd’hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! La plupart d’entre eux s’y rendent à pied ; on y compte des croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc.
Certains accomplissent le périple d’une traite, d’autres le morcèlent en raison de contingences personnelles… sachant qu’à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible de provoquer des transformations profondes à l’intérieur de soi. Le voyage vers Compostelle n’est jamais anodin et laisse des traces ! Fureteurs de grands espaces et curieux d’histoire, de sites, d’oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet ouvrage matière à suivre l’intégralité des voies historiques ici évoquées.

Le chemin du Puy vers Saint-Jacques-de-Compostelle – Guide pratique du pèlerin

de  Jean-Pierre Siréjol et Louis Laborde-Balen

Du Puy-en-Velay aux Pyrénées (Saint-Jean-Pied-de-Port, puis Roncevaux), se déroule l’un des itinéraires de pèlerinage majeurs du Moyen Age à ces premières années du troisième millénaire. S’y côtoient aujourd’hui marcheurs de la foi et randonneurs à pied et à VTT, chercheurs en quête d’eux-mêmes et fureteurs de nature et de culture à dimension spirituelle… En 29 étapes, auxquelles s’ajoutent maintenant 11 étapes de variante entre Figeac et La Romieu via Rocamadour, ce chemin, devenu également le GR 65 au balisage rouge et blanc, passe par de hauts lieux comme Aubrac, Conques, Cahors, Moissac, Aire-sur-l’Adour.

Il offre au pèlerin contemporain des trésors d’architecture, des espaces fabuleux, de secrètes possibilités de recueillement, de bonnes fortunes de gîte et de couvert. Ce guide en décrit très minutieusement le parcours, donne des informations sur les hébergements et les services, propose des articles traitant de l’histoire et du patrimoine.

Le chemin de Saint-Jacques en Espagne – De Saint-Jean-Pied-de-Port à Compostelle

de Jean-Yves Grégoire et Louis Laborde-Balen

De Saint-Jean-Pied-De-Port, la pyrénéenne, à Saint-Jacques-de-Compostelle, la galicienne, se déroule l’un des plus célèbres chemins de pèlerinage d’Europe, façonné par les hommes et leur histoire. De nos jours, marcheurs de la foi et randonneurs en quête d’un ailleurs bien souvent intérieur s’y côtoient. Ce guide s’adresse aux uns et aux autres : description précise du parcours en 33 étapes, renseignements pratiques sur l’hébergement et le ravitaillement, articles traitant de nombreux aspects patrimoniaux.
Prendre ce chemin, aujourd’hui balisé, c’est s’engager dans une aventure de notre temps inscrite dans un espace très imprégné d’hier et toujours en devenir ; aller à Compostelle défiant toute tentative de résumé. C’est aussi visiter Roncevaux, Pampelune, Burgos, Léon, Astorga, Ponferrada. C’est s’envelopper de silence et rechercher une cohérence, c’est aller devant, dedans. C’est marcher, tout simplement, ailleurs…

Les routes de Compostelle en Espagne – À la rencontre du patrimoine sur le Chemin côtier et le Camino Francés

de Jean-Yves Grégoire

Du milieu des années 1980 à aujourd’hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! Si la plupart d’entre eux s’y rendent à pied, on y compte des croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc. Certains accomplissent le périple d’une traite, d’autres le morcèlent en raison de contingences personnelles… sachant qu’à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible de provoquer des transformations profondes à l’intérieur de soi. Le voyage vers Compostelle n’est jamais anodin et laisse des traces ! Mais pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à Compostelle ? Aujourd’hui, les pèlerins vont à motorisés. Les deux ouvrages inventorient en détail le patrimoine au fil des étapes ; ils permettent de profiter des merveilleux paysages des grandes voies françaises et espagnoles en suivant d’aussi près que possible leurs tracés  » historiques « , le long des routes secondaires ou vicinales toutes proches. Parfois, le hasard voudra que la petite route empruntée corresponde au tracé médiéval. L’aspect pédestre n’est pas pour autant oublié. Sur chaque itinéraire décrit, quelques étapes emblématiques du parcours ont été choisies afin que chacun ait un aperçu concret du cheminement à pied vers Saint-Jacques. Les étapes retenues sont assez courtes et praticables par des marcheurs peu entraînés. Cette manière de voyager le long des routes de Compostelle est déjà très appréciée depuis quelques années. Aussi, fureteurs de grands espaces et curieux d’histoire, de sites, d’oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet ouvrage pratique (routes à suivre, hébergements) matière à suivre l’intégralité de la voie de Paris et Tours, et celle du Puy.

Les routes de Compostelle en France – A la rencontre du patrimoine sur les voies de Tours et du Puy

de Jean-Yves Grégoire

Du milieu des années 1980 à aujourd’hui, les pèlerins allant à Compostelle sont passés de quelques centaines à 180 000 par an ! Si la plupart d’entre eux s’y rendent à pied, on y compte des croyants, des athées, agnostiques, hédonistes, sportifs, accros du patrimoine, branchés du new age ou du bouddhisme, etc. Certains accomplissent le périple d’une traite, d’autres le morcèlent en raison de contingences personnelles… sachant qu’à chaque fois partir pour un si long voyage est susceptible de provoquer des transformations profondes à l’intérieur de soi. Le voyage vers Compostelle n’est jamais anodin et laisse des traces ! Mais pourquoi faudrait-il nécessairement aller à pied à Compostelle ? Aujourd’hui, les pèlerins sont motorisés. Les deux ouvrages inventorient en détail le patrimoine au fil des étapes ; ils permettent de profiter des merveilleux paysages des grandes voies françaises et espagnoles en suivant d’aussi près que possible leurs tracés  » historiques « , le long des routes secondaires ou vicinales toutes proches. Parfois, le hasard voudra que la petite route empruntée corresponde au tracé médiéval. L’aspect pédestre n’est pas pour autant oublié. Sur chaque itinéraire décrit, quelques étapes emblématiques du parcours ont été choisies afin que chacun ait un aperçu concret du cheminement à pied vers Saint-Jacques. Les étapes retenues sont assez courtes et praticables par des marcheurs peu entraînés. Cette manière de voyager le long des routes de Compostelle est déjà très appréciée depuis quelques années. Aussi, fureteurs de grands espaces et curieux d’histoire, de sites, d’oeuvres bâties ou symboliques trouveront dans cet ouvrage pratique (routes à suivre, hébergements) matière à suivre l’intégralité de la voie de Paris et Tours, et celle du Puy.

Le Chemin Côtier Camino del Norte Vers Saint-Jacques-de-Compostelle – Guide pratique du pèlerin / Jean-Yves Grégoire

Depuis les premiers temps du pèlerinage vers Compostelle, le Camino Francés (via Burgos et León) n’a pas été le seul itinéraire conduisant vers les reliques de Jacques. Même si son histoire présente encore bien des points obscurs, le chemin des côtes cantabriques accueille les pas des marcheurs depuis des temps très lointains. Chemin primitif, chemin du nord, chemin côtier… L’itinéraire décrit dans ce guide permet de rallier Bayonne, à l’embouchure de l’Adour, au cap Finisterre, extrême pointe occidentale de la Galice. Passant par Saint-Sébastien, Bilbao, Santander, Oviedo, et bien entendu à Saint-Jacques-de-Compostelle, il enchaîne trente-neuf étapes entre terre, ciel et mer, dans un décor somptueux et sauvage. Petit et grand patrimoine jacquaire, paysages d’exception, villes d’art et d’histoire : ce parcours s’adresse tant aux marcheurs de la foi qu’aux chercheurs d’un ailleurs qui – même intérieur – se révélera au fil de ce chemin de liberté. Aujourd’hui bien balisé et entretenu, il constitue une remarquable alternative au chemin « classique ». Ce guide en décrit avec précision le déroulé et propose un riche répertoire d’hébergements. Les notices patrimoniales en font un outil de connaissance autant qu’un outil de pérégrination. Entre l’infini de la quête et l’ici et maintenant de la marche, ouvrir ce guide, c’est déjà partir sur le chemin des étoiles…

Les chemins de Saint-Jacques en Bretagne – Guide pratique du pèlerin par les Amis de St Jacques

Du Goëlo, du Léon et du goulet de Brest à la Sèvre nantaise, puis à la Boutonne, se déploie la première partie du grand arc atlantique des chemins conduisant à Compostelle. Portant de lieu en lieu témoignage de la présence jacquaire en Bretagne, divisé en 45 étapes principales allant de ville en hameau, d’écluse en prieuré, de bocage en ruisseau, ce chemin propose en fait quatre lieux de départ possible : l’abbaye de Beauport, aux portes de Paimpol, Locquirec et Méguériec en pays léonard, la pointe Saint-Mathieu près du Conquet ; Quimperlé et Redon constituant les points de jonction des diverses branches. Dépassant ensuite Nantes, le chemin file vers Saint-jean-d’Angély où il se raccorde à celui qui arrive de Paris et de Tours. Entre ajoncs et granit, empruntant des sentiers côtiers et d’autres sur la lande, suivant des chemins vicinaux, des halages et de discrètes routes communales, ces itinéraires – balisés – invitent à la découverte pas à pas d’une Bretagne très voisine de la Galice, but ultime d’une pérégrination traversant également la Plaine vendéenne et le Marais poitevin.

Marcher à Paris sur les pas des pèlerins de Compostelle / Sophie Martineaud

C’est à partir du XIIe siècle que les pèlerins originaires du nord de la France, d’Angleterre, d’Allemagne du Nord, des Flandres et des Pays-Bas, des pays scandinaves, de Pologne, et de plus loin encore, commencent à affluer en direction de la Galice. Tout naturellement, ils convergent vers Paris pour reprendre ensemble la via Turonensis, ce chemin qui fait étape à Orléans, Tours, Poitiers, Saintes, Bordeaux, Dax… L’itinéraire décrit ici ne suit pas une boucle, mais parcourt la capitale du nord au sud, puisqu’il suit logiquement le cheminement des jacquets du Moyen Age, permettant de découvrir un visage inédit de Paris, faisant le tri entre vraies et fausses coquilles, évoquant Mahaut d’Artois et Nicolas Flamel, incitant à faire un crochet par le musée Carnavalet, redonnant vie à Saint-Jacques-de-la-Boucherie et à l’hospice Saint-Jacques-aux-Pèlerins, débusquant la moindre trace jacquaire au fil des rues, dans la pénombre des chapelles et dans la lumière des vitraux. Articulée en quatre tronçons, cette traversée de Paris éclaire les motivations des jacquets à travers les temps, ausculte les épisodes majeurs du pèlerinage vers Compostelle et dresse au fil des pas un inventaire singulier allant de l’église Saint-Laurent à Saint-Jacques-du-Haut-Pas.

PARU LE : 03/03/2009

Le Chemin de la Plata vers Saint-Jacques-de-Compostelle

de Jean-Yves Grégoire

Le Chemin de la Plata fend la péninsule Ibérique du sud au nord. les Espagnols disent qu’il est la colonne vertébrale du pays et en retrace toute l’Histoire en passant par Séville, Merida, Cames. Salamanque, Zamora… Son tracé, établi à l’âge de bronze, correspond au parcours emprunte par les bovins lors des transhumances.

Au Ier siècle ap. J.-C., la draille devient une voie romaine stratégique. Cette « autoroute » empierrée (b’lata) constituera une aubaine pour les Maures déferlant sur l’Espagne au VIIIe siècle. Lors de la Reconquista, elle servira à chasser les musulmans d’Espagne. Âpres 1492, les Juifs fuyant l’Inquisition l’emprunteront aussi pour rejoindre le Maroc ou le Portugal. Enfin, dès le IXe siècle, les chrétiens d’Andalousie pérégrinent a pied depuis Séville en direction de la tombe de l’apôtre Jacques, en Galice, sur ce même itinéraire parfois nomme Camino mozarabe de Santiago, chemin mozarabe de Saint-Jacques-de-Compostelle. Ce guide décrit avec précision les 1000 km de pistes et de chemins séparant Séville et Compostelle. partages en trente-huit étapes. Pour charme, informations sur les hébergements et notices patrimoniales aident les marcheurs dans leur progression spatiale… et intérieure.

Randonnées sur les chemins de Saint-Jacques au Pays Basque

de  Jean-Yves Grégoire

Ce guide décrit dans le détail les itinéraires empruntés par les pèlerins et propose une liste de services en Pays basque. Il contient aussi des informations historiques et culturelles et des cartes schématiques. 2010, année jacquaire.
Le premier itinéraire, offrant deux possibilités de départ à Bayonne (un trajet par la côte, puis Ascain; l’autre par Souraïde), passe ensuite à Urdax, à Elizondo, au pas de la Velate, en terre d’Espagne. Ce chemin historique, dit « du Baztan », s’accomplit en 6 ou 7 étapes, avec arrivée à Pampelune/Pamplona.
Le second parcours, démarrant dans la capitale de la Basse-Navarre, s’en vient traverser Hélette, Espelette, Itxassou, Sare, pour s’achever dans la lumière de Saint-Jean-de-Luz. S’engager sur ces chemins, c’est goûter sans risque aux premiers pas vers la Galice, à l’aventure de la pérégrination, c’est accorder les différentes voies dans et au-delà de leur diversité.